Jacques Echavidre, peintre du silence

Architecte de formation, issu de l’Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Paris, Jacques Echavidre a reçu un enseignement plastique dans les ateliers de Jules Cavaillès et d’Yves Brayer.
Enseignant à l’Ecole Nationale Supérieure des Arts Appliqués et des Métiers d’Arts l’architecture et la communication, il a en parallèle mené une carrière d’artiste peintre.
Il vient de recevoir la Médaille du Sénat des mains de Gérard Larcher président du Sénat, pour son parcours artistique.
Peintre du silence par l’atmosphère feutrée de ses toiles, des grands espaces au fil des saisons et de ses voyages à l’étranger.
Observateur passionné de la nature, du chatoiement des couleurs, de la lumière à chaque fois réinventées.
Certaines de ses toiles ont fait l’objet d’acquisitions de collections particulières aux Etats-Unis ou ont été acquises également par plusieurs villes de France : Rambouillet, Versailles, Rosnys/bois, Menton.

Yukichi Inoué a choisit la France

Sculpteur né au Japon, qui a choisit la France pour parfaire son éducation artistique.
Ancien élève de l’Ecole des Beaux-Arts de Paris dans l’atelier d’Adam et Collamarini en taille directe.
De la pierre noire de Volvic à la pierre blanche de l’île d’Okinawa, Yukichi Inoué poursuit sa quête d’authenticité, de devoir de mémoire, d’humilité face à la nature et ses éléments.
Yukichi Inoué a effectué plus de 260 expositions collectives et personnelles et a réalisé 22 sculptures monumentales en pierre en France et à l’étranger.
Il a participé aux symposiums internationaux de sculpture en Egypte, au Burkina Fasso, en Belgique et ex-Yougoslavie.
Prix de la Fondation de Coubertin au Salon de Mai, à Paris en 2001 et 2011.
Prix de la Fondation P. Gianadda de l’Académie des Beaux-Arts.
Prix de sculpture de la Fondation Simone et Cino del Duca de l’Académie des Beaux-Arts ( Institut de France) en 2014.

Ci-dessous : Après avoir réalisé de nombreuses œuvres à partir de la lave de Volvic, en 2011 Yukichi Inoué se lance dans un projet de grande envergure , celui des « Mille et Une Têtes « sculptées dans la pierre blanche d’Okinawa.
Une légende dit que dans le temple des « Mille et Un Bouddhas » de Kyoto, on peut retrouver dans le visage des statues, les traits des êtres chers dont on est séparé .

Nicole Motte, techniques mixtes

Depuis plusieurs années Nicole Motte parcourt les régions françaises carnets de croquis à la main et élabore sur le motif de nombreux dessins aquarellés qu’elle restitue dans l’atelier sous toutes formes de techniques différentes (gouache, huile, pastel, acrylique, aquarelle).
Les multiples endroits contemplés, la Dordogne, la Bretagne, et surtout Paris et ses environs, lui procurent toutes sources d’inspiration suivant les lieux, les saisons, les lumières et les couleurs.
Tous ces éléments sont la matière dont elle a besoin une fois de retour à son atelier à proximité de la Vallée de Chevreuse.

Gaëtane Passeron, le dessin, clef de voute de son travail

Diplomée de l’Ecole Boulle en architecture intérieure et design, Gaëtane Passeron poursuit parallèlement une formation de sculpteur.
Le dessin est la clef de voûte de son travail ce qui lui ouvre de larges horizons de création : en modèle vivant, monotypes et illustrations.
En sculpture, elle travaille la terre, le polystyrène, la résine polyester, le plâtre, la cire.
Elle anime un atelier de dessin et sculpture pour enfants et adultes à Bures sur Yvette.

La présence du corps dans l’espace

Izolda ( PIERAUMONT-PIETRUSIAK ), née en Pologne, choisit la France pour parfaire son éducation artistique. Elle est diplômée des Beaux-Arts (Académie des Beaux-Arts de Wroclaw ; École supérieure d’art des Pyrénées) et de l’Architecture du paysage.

« Mon travail, sorte de laboratoire du geste, est intimement lié à la présence du corps dans l’espace et à ses différents aspects. Je cherche à construire une ambiance liée à l’univers des individus que je saisis. Ils me renvoient à l’introspection. »